La tension artérielle varie dans de nombreuses circonstances. Il est donc important de mesurer régulièrement sa tension, pour déceler une tension trop élevée, confirmer une hypertension artérielle ou simplement connaître sa tension.
L’achat d’un tensiomètre automatique (possible sans prescription médicale) permet de réaliser l’autotest de la tension et l’automesure sur 3 jours.
Pour mesurer la tension, appelée pression artérielle par les médecins, il faut un tensiomètre. Mais comment choisir un tensiomètre ?
Je vous montre ici le tensiomètre traditionnel, le tensiomètre dit de Vaquez-Laubry qui est en était l’inventeur il y a plus de 100 ans. Ces tensiomètres sont beaux, ils peuvent être en or, ils ont la fameuse poire très populaire auprès des patients et de beaucoup de médecins, mais complètement périmés !
En fait aujourd’hui, il faut un tensiomètre automatique. Comment choisir un tensiomètre automatique ? Je vous ai mis là les mes trois préférés : il y a une marque française (le même constructeur que ce fameux tensiomètre là) et puis il y a une marque japonaise, une marque allemande. Ils n’ont pas la même taille, pas la même forme, ils ne sont pas connectés (ça sert pas à grand-chose la connexion).
Qu’est-ce qui fait la différence entre ces trois tensiomètres dits automatiques ? C’est le brassard, cette poche bien connue des patients qu’on met autour du bras. Cette poche contient à l’intérieur le fameux capteur qui va permettre la mesure de la pression artérielle par l’appareil automatique.
Comment différencier ces brassards qui, en fait, sont tous différents selon le tensiomètre ? C’est d’abord la taille. 22-36 c’est habituellement la taille qui va permettre la mesure avec une très bonne fiabilité chez les patients qui ont un bras de taille normale, de taille standard. Pourquoi ces brassards sont un peu différents ? Parce que vous le voyez : 22-42, c’est marqué dessus, ce sont des brassards adaptés aux gens qui ont un bras fort. Et pour ce bras qui est de taille plus forte que la taille standard, il est indispensable d’avoir un tensiomètre qui a cette taille de brassard si on a un bras un peu plus gros que la moyenne des gens.
Mesurer la pression artérielle est un geste emblématique de la pratique médicale.
Il faut aujourd’hui utiliser des tensiomètres automatiques pour effectuer la mesure de la pression artérielle.
Cette recommandation est depuis quelques années celle de tous les experts en Europe, en Grande-Bretagne, aux USA, et en Asie. En Europe, les tensiomètres automatiques qui possèdent le marquage CE peuvent être utilisés avec une grande confiance.
L
es tensiomètres automatiques, autrement appelés tensiomètres électroniques, ont, de plus, comme avantage supplémentaire d’afficher les valeurs de la pression artérielle avec une précision plus importante que les tensiomètres traditionnels.
En conclusion, depuis 25 ans pour mesurer la tension, il faut utiliser un tensiomètre automatique. Le tensiomètre traditionnel n’est plus utilisé ni recommandé par les experts.
Pour mesurer la pression artérielle, les experts recommandent depuis 100 ans dutiliser la méthode auscultatoire et depuis 20 ans d’utiliser la méthode oscillométrique. Les tensiomètres automatiques utilisent la méthode oscillométrique et sont des appareils très technologiques. Depuis les années 2010 sont apparus des appareils connectés qui annoncent mesurer la pression artérielle systolique et diastolique. L
e bracelet AKTIIA comme les montres connectées SAMSUNG ou APPLE, utilisent la technologie photoplethysmographique (PPD) qui n’était pas celle utilisée par les tensiomètres traditionnels ou les tensiomètres automatiques. Ces nouveautés sont aussi appelés des tensiomètres
« cuffless » car il n’utilisent pas un brassard compressif pour mesurer la pression artérielle. En 2024, tous ces appareils n’en sont pas au même stade de la validation et/ou de la commercialisation. C’est le bracelet AKTIIA qui est le plus avancé, mais ses concepteurs doivent encore résoudre quelques points pour leur bon fonctionnement, en particulier une simplification de la procédure de « calibration ».
Les montres connectées (même de marques très connues) ne sont pas encore au point pour apporter des résultats fiables lors des mesures de la tension en particulier chez l’hypertendu.
Si il paraît certain que la méthode « cuffless » remplacera les méthodes traditionnelles (auscultatoire et oscillométrique) pour la mesure de la pression artérielle dans quelques années, en 2023 et 2024 les experts Européens de l’ESH et de l’ESC ont considéré que ces tensiomètres de nouvelle génération (les montres, les bracelets, les bagues, les caméras de visage) entraient encore dans la catégorie des gadgets mais pas dans celle des « appareils médicaux validés » pour la mesure de la pression artérielle.
Leur usage n’est donc pas actuellement recommandé pour réaliser le diagnostic ou la surveillance d’une hypertension artérielle.
Des autorisations complémentaires seront nécessaires avant de pouvoir en recommander l’usage pour le soin médical.
En novembre 2024, pour le diagnostic ou la surveillance de l’hypertension, un tensiomètre automatique est utile et recommandé mais les montres connectées qui mesurent la tension sont encore classifiées dans la catégorie « gadget ». Leur achat et leur usage n’est donc pas proposé par les experts de l’hypertension.
La seule exception concerne
le bracelet AKTIIA qui utilise une méthode cuffless ayant démontré un haut niveau de preuve de sa fiabilité par des travaux de validation réalisés par comparaison à la mesure « intra artérielle » mais aussi à la méthode auscultatoire. Elle impose encore une calibration initiale puis mensuelle.
Si en 2024, le bracelet AKTIIA est utilisé par certains spécialistes pour confirmer ou surveiller l’HTA, il faut savoir que le bracelet AKTIIA ne permet pas la mesure de la pression artérielle lors des efforts physiques ou de l’activité sportive et qu’Il ne peut pas remplacer la mesure traditionnelle de la pression artérielle effectuée lors d’une consultation. De plus, comme aucun remboursement par l’assurance maladie ou les mutuelles n’est actuellement réalisé en France et que l’achat d’un bracelet AKTIIA coûte plus de 200 euros, son usage restera très confidentiel pendant quelques années encore.
bon usage du tensiomètre automatique
en vidéos très courtes (moins de 60′) :
- Attention à la taille du brassard (tensiomètre au bras)
- La bonne position du bras (tensiomètre au bras) et du poignet (tensiomètre au poignet)
- Brassard possible sur l’épaisseur d’un vêtement
- Garder le brassard du tensiomètre toujours au même bras
- Respecter la position du tuyau
- Rester en position assise
- Ne pas croiser les jambes
- Gérer son appréhension
- Bien lire les chiffres du tensiomètre
- Surveiller sa tension avant l’âge de 50 ans
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L’achat en pharmacie ou en magasin de vente d’appareillage médical permet d’obtenir un conseil sur le tensiomètre le plus adapté à votre usage.
L’achat d’un tensiomètre automatique au bras avec le choix de la taille du brassard peut se faire sur Internet.
D’excellents tensiomètres au bras pourront être achetés pour un prix de 35 à 60 euros (+ frais de port) sur iinternet.
La FRHTA a sélectionné des sites de confiance vendant des marques de tensiomètres de qualité reconnue et des appareils validés. Ces sites permettent aux résidents de France métropolitaine de recevoir dans un délai de moins de 5 jours un tensiomètre de marque Spengler (France), Hartmann (Allemagne), Omron (Japon) qui sont tous recommandés par le ministère de la santé Français de l’ANSM et les experts Internationaux du STRIDE BP
Pour les sujets ayant un « gros bras » les tensiomètres des marques Omron et Hartmann sont recommandés car il sont livrés avec un brassard de taille 22-42 cm qui permet une mesure fiable de la pression artérielle.
Si le bras est très petit ou pour une mesure de la tension chez l’enfant, il faut acheter un brassard de taille S compatible avec la marque du tensiomètre. Les tensiomètres de la marque OMRON propose cet accessoire.
Pour bien réaliser une automesure de la tension il faut :
Pour se faire aider à ces différentes étapes il est recommandé d’utiliser l’application suiviHTA mise au point par les experts de la Fondation Hypertension. Cette application est gratuite et compatible avec les tensiomètres de toutes les marques (par prise de photo de l’écran du tensiomètre).
Aujourd’hui, les tensiomètres automatiques sont recommandés pour mesurer la tension sans l’aide d’un professionnel de santé. Le tensiomètre automatique affiche la tension SYS avec 3 chiffres et la tension DIA avec 2 chiffres. Sa précision est plus importante que celle obtenue avec un tensiomètre traditionnel.
Les autres méthodes ne sont pas fiables et parfois fantaisistes et sont déconseillées pour un usage médical.
Choisissez toujours un tensiomètre avec le marquage CE qui garantit la fiabilité et la sécurité d’emploi.
Les tensiomètres traditionnels positionnés sur le bras et utilisés avec un stéhoscope (mesure auscultatoire) sont recommandés par les experts.
Le brassard peut recouvrir la manche d’un vêtement de l’épaisseur d’une chemise.
Le brassard peut être mis sur le bras droit ou le bras gauche. Pour faciliter la mise en place du brassard sans l’aide d’un tiers :
IMPORTANT : choisissez un brassard adapté à la taille de votre bras, car elle influence la fiabilité des mesures
Dans certains cas, la mesure réalisée par un tensiomètre automatique peut ne pas être fiable, notamment en cas d’arythmie, de pré-éclampsie et chez l’enfant. Si le tensiomètre indique un message d’erreur, une nouvelle mesure doit être effectuée.
Les tensiomètres cuffless sont récents. Ils sont utilisés dans de nombreux objets connectés (montres, bracelet AKTIIA, application mesure de tension sur smartphone). Ils utilisent des algorithmes d’IA pour estimer la pressioin artérielle.
Les tensiomètres cuffless proposent de mesurer la pression artérielle en se basant sur l’analyse de milliers de signaux optiques sur lesquels il est calculé le temps de transit de l’onde de pouls (Pulse Transit Time) et le temps d’arrivée de l’onde de pouls (Pulse Arrival Time). Le signal enregistré et analysé est acquis par le capteur optique d’un photopléthysmogrammes (PPG). La méthode PPG détecte les changements de volume sanguin dans les tissus, en particulier dans les petits vaisseaux (réseau microvasculaire). La photopléthysmographie est parfaitement non invasive et n’impose pas la compression des vaisseaux. Le capteur PPG détecte les changements dans la quantité de lumière transmise ou réfléchie et génère une forme d’onde PPG. Le volume et la dilatation des artères sont liés à la forme de l’onde PPG.
Le signal et les données collectés sont analysées en IA (Machine Learning) afin d’obtenir l’estimation de la pression systolique (SYS) et de la pression diastolique (DIA) à partir du signal optique. Plusieurs études cliniques ont montré la conformité de ces l’analyse de ces estimations algorithmiques par rapport aux valeurs de pression artérielle obtenues par les méthodes de référence (clinique et même intra-artérielle). Toutes ces technologies sont actuellement embarquées sur des objets connectés : bracelet, montre, bague, capteur smartphone. Les dernières validations montrent que les mesures de la pression artérielle ne nécessitent plus un étalonnage par rapport aux méthodes de référence. V
Ces méthodes cuffless vont permettre d’évaluer la pression artérielle chez un sujet pendant son sommeil sans provoquer un réveil lié au gonflement du brassard de compression. Ainsi il est probable que de nouveaux paramètres pour le diagnostic et la surveillance des patients hypertendus émergent dans les décennies à venir. L’usage de ces méthodes cuffless pour le diagnostic et le suivi des patients n’est pas en 2024 admis par les experts de l’hypertension artérielle.
Pour le Pr Xavier Girerd, les raisons ne sont pas liées à leur absence de validation métrologique (ces techniques sont aujourd’hui validées), mais plutôt sur l’absence de preuve de l’intérêts pour la santé de l’individu ou de bénéfice pour la population en relation avec l’usage de ces objets connectés. Il faudra aussi comparer le bénéfice, ou la neutralité, de l’usage de ces objets connectés mesurant la pression artérielle par rapport aux méthodes traditionnelles concernant le bilan énergétique total et l’empreinte carbone des objets connectés.
Actuellement la méthode cuffless, et les objets connectés qui la contienne, n’est pas en mesure faute de preuve solide, de remplacer les méthodes de mesures traditionnelles (auscultatoire ou oscillométrique). Pour le Pr Xavier Girerd, des études de morbi-mortalité sont à réaliser afin de convaincre les experts indépendants de recommander des objets connectés contenant la méthode cuffless. Ces études devront démontrer que les sujets/utilisateurs ont un meilleur pronostic cardiovasculaire que les « non utilisateurs ».
Les tensiomètres automatiques sont tous validés et leur usage est recommandé par l’ESH l’ESC et la HAS depuis deux décennies.
La « connexion » d’un tensiomètre automatique permet le transfert des données vers une base de donnée. Avec un tensiomètre connecté les données personelles de l’utilisateur sont stockées et analysées par l’industriel qui a vendu le tensiomètre. Les données seront utilisées par l’industriel pour calculer les valeurs de tension en particulier lorsque la méthode est de type cufless.
Avec les tensiomètres connectés il est théoriquement possible que les données soient mise à la disposition du médecin prenant en charge l’HTA. En pratique les plateformes des industriels ne sont pas utilisées par les médecins et il n’y a donc pas d’intérêt particulier à utiliser un tensiomètre connecté. Des études randomisée publiées dans les meilleures revues (NEJM JAMA Lancet…) ont pourtant montré l’intérêt de l’usage des tensiomètres automatiques connectés pour améliorer la gestion de l’hypertension. Toutefois même dans études il n’a jamais été démontré une supériorité d’avoir un tensiomètre connecté à une base de donnée accessible au médecin. En novembre 2024, il n’y a pas un avantage à s’équiper d’un tensiomètre automatique « connecté » par rapport à un tensiomètre automatique standard.
L’achat du tensiomètre automatique est une étape très importante dans la prise en charge de son hypertension artérielle.
Comment acheter un tensiomètre ? Chez le pharmacien.
Le pharmacien vend des tensiomètres automatiques, avec une marge bien évidemment. On peut aller sur internet. Est-ce que tous les tensiomètres sont les mêmes sur internet et en pharmacie ? La réponse est non, mais la réponse est oui quand même : toutes les grandes marques se retrouvent chez le pharmacien et sur internet. Après, comment choisir entre les marques ? Est-ce qu’il y a des différences entre les marques ? Il y a des différences. Il faut plutôt prendre les grandes marques et le prix est toujours associé à la qualité. Un appareil qui coûtera moins de 20 euros ne va pas durer très longtemps. Un appareil de bonne qualité a un prix aux alentours de 40, 50 euros. Dépenser plus pour un tensiomètre n’est pas justifié car la technologie embarquée dans les tensiomètres n’est pas différente. C’est un certain nombre de gadgets comme la connexion, comme la détection de la fibrillation, c’est pas l’essentiel. Un tensiomètre est fait pour mesurer la tension.
L’important est d’acheter un tensiomètre qui se positionne sur le bras car ils sont beaucoup plus faciles à utiliser que les tensiomètres qui se positionnent sur le poignet. Car le poignet, on sait pas où mettre son poignet. Le bras, on n’a pas l’idée de lever le bras pendant la mesure.
Un tensiomètre se met sur le bras et s’achète sur internet… ça va être le message numéro un et essentiel pour guider. Le site frhta.org vous donne des liens préférentiel sélectionnés par la Fondation pour pouvoir acheter de bons tensiomètres, chez des marchands qui sont localisés en France, ce qui peut être important pour avoir un tensiomètre assez rapidement.
Intervention du Pr Xavier Girerd, Grande Journée du Cœur 2022 – Conférence TED
Le document «AutoTest de la tension » proposé par la Fondation Hypertension et le Comité de Lutte contre l’Hypertension, permet de vous aider à effectuer cette mesure de la tension tout seul, au moins une fois par an.
Le protocole est simple, c’est le protocole international : il faut être en position assise, sans croiser les jambes, ni parler, il faut ne pas avoir fumé 30 minutes avant ni pendant les mesures et il faut réaliser (ce point est très important) : une, deux ou trois mesures.
Pourquoi en mesurer une, deux ou trois ? En tout cas, il faut pas dépasser une minute entre chaque mesure, ça sert à rien d’attendre longtemps. Il faut appuyer sur le bouton du tensiomètre puis, quand on a reporté les chiffres de la tension, on redéclenche la mesure 2.
Est-ce que tout le monde a besoin de faire trois mesures ? En fait non, pas tout le monde : uniquement ceux dont la première mesure est supérieure à 141 pour la première ligne, dite SYS, ou supérieure à 91 pour la deuxième ligne, DIA. La valeur PULSE n’a aucune importance, c’est pas la fréquence cardiaque qui est associée à la pression artérielle, c’est la valeur SYS et la valeur DIA.
Si la valeur SYS et la valeur DIA sont à moins de 140 ou à moins de 90 et bien vous pouvez toujours mesurer deux fois de plus la pression artérielle mais en fait votre tension est déjà satisfaisante et il faudra surtout renouveler la mesure de pression artérielle au moins tous les ans car « tension normale un jour ne veut pas dire une pression artérielle normale toujours », on peut devenir hypertendu alors qu’on n’a jamais eu de chiffre élevé de la tension avant.
Si on réalise trois mesures parce que la première mesure était supérieure à 141 ou 91 pour la SYS et la DIA respectivement, et bien la troisième mesure c’est celle finalement sur laquelle on va pouvoir considérer qu’il y a éventuellement une hypertension. Ce n’est jamais la première mesure parce qu’il peut y avoir le fameux « effet blouse blanche » qui conduit à observer une différence entre la 1ère, la 2e et la 3e.
Alors la 2e est plus basse que la première, la 2e et la 3e sont souvent identiques ou très proches l’une de l’autre. La 3e mesure, si elle est supérieure à 141 pour la SYS ou 91 pour la DIA : il va falloir confirmer l’hypertension. Il y a une suspicion, il n’y a pas de certitude. Pour cela, il faut réaliser le protocole dit d’automesure sur 3 jours en appliquant la règle des 3.
Vous pouvez lire les documents publiés par les sociétés savantes ou vous pouvez aussi, pour vous aider, télécharger l’application suiviHTA qui est gratuite et qui est sur tous les stores et qui vous permettra d’obtenir un conseil personnalisé pour chaque mesure tensionnelle.
Voilà si la 3e mesure est à moins de 140 : votre tension est satisfaisante et vous n’aurez pas à réaliser une automesure de la pression artérielle sur 3 jours.
La Fondation a mis au point des outils, numériques ou papier, pour aider les usagers à interpréter le résultat et pour leur donner un conseil personnalisé sur la conduite à tenir en fonction des tensions mesurées :
Chacun de ces outils peut être communiqué à un professionnel de santé pour obtenir un avis médical.
En savoir plus :
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